La Bible a été conçue avec des livres canoniques

Tout d'abord, il y a plusieurs points spécifiques sur l'inspiration divine, à l'aide de passages des Écritures Saintes, nous en verrons quelques-uns.

 

- Toute Écriture est inspirée de Dieu (2 Timothée 3 :16).
- Toute parole de Dieu est éprouvée sans rien y retrancher ou y ajouter (Prov 30 :5-6).
- Toute parole prophétique est poussée par le Saint Esprit (2 Pierre1 :21).
- Toute Écriture écrite d'avance, l'est pour notre instruction (Romains 15.4).
- Toute Écriture a autorité (Matthieu 4.4).
- L'inspiration divine est en juxtaposition avec l'homme choisi (2 Samuel 23.2).
- En tant que mots propres de Dieu, l'Écriture possède la propriété d'autorité (Ésaïe 1.2).
- Les Saintes lettres peuvent rendre sage « à salut » par la foi en Christ (2 Timothée 3.15).
- La Parole de Dieu est une lampe et une lumière dans notre vie (Psaume 119.105).

- La Parole jugera ceux qui rejette Christ (Jean :12 :48)

 

Jésus Lui-même, nous dit que tant que la terre et le ciel ne seront détruits, tout ce qui a été dit dans la Parole s'accomplira et demeurera valable et véridique.

 

Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne
disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit
arrivé. (Matthieu 5 :18)

 

Définition

Pour comprendre la façon dont la Bible a été formée, nous étudierons quatre termes, soient : L'authenticité, la crédibilité, la canonicité et l'autorité de la Parole de Dieu.

 

L'authenticité : L'authenticité veut dire que ces livres ont été écrits à l'époque qu'ils revendiquent l'avoir été et par les hommes dont ils (les livres) postulent l'avoir concrétisé. Les livres apocryphes sont des contrefaçons. Donc, si un livre prétend avoir été écrit par Moïse ou par Paul, l'authenticité certifie que ces livres sont de Moïse ou de Paul.

 

La crédibilité : La crédibilité détermine la pureté et la conformité du message biblique. Les termes bibliques sont conformes à l'ensemble de leur utilisation dans les Écrits Saints. Que nous avons un texte fondamentalement pur ! Que ce qu'il affirme être vrai est réellement vrai ! Contrairement aux Apocryphes, Deutérocanoniques, écrits gnostiques, les premières professions de foi, les écrits des « Pères apostoliques », les écrits d'Hénoch. Tous ces écrits corrompent les textes originaux canonisés par leurs variations des définitions et leurs historiques. Ce sont des auteurs revendiquant le nom des Saints ayant côtoyé le Seigneur, mais en réalité des usurpateurs essayant de mettre la zizanie en les intégrant aux textes originaux ou en altérant leurs sens.

 

La canonicité : La racine du mot canon vient du mot Hébreu « kanah » et du mot grec « kanon » et sa définition est une règle et une norme.

 

En fait le canon est une série de livres inspirés de Dieu et écrits par des hommes de Dieu prenant leurs autorités aussitôt terminés dans la Parole. Il y a 43 livres dans l'Ancien Testament soit : La Pentateuque composée de la Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, et Deutéronome. Les livres Historiques constitués de Josué, Les Juges, Ruth, I Samuel, II Samuel, I Rois, II Rois, I Chroniques, II Chroniques, Esdras, Néhémie, Esther. Les livres Poétiques formées de Job, les Psaumes composés de 5 livres, mais mis en un seul livre dans les traductions, les Proverbes, Ecclésiaste, Le Cantique des cantiques. Les Grands Prophètes incorporant Ésaïe, Jérémie, Lamentations de Jérémie, Ézéchiel, Daniel. Les Prophètes de la fin de l'Ancienne Alliance représentant Osée, Joel, Amos, Abdias, Jonas, Michée, Nahum, Habaquq, Sophonie, Aggée, Zacharie, Malachie .

 

Dans le Nouveau Testament, il y a 27 livres, groupés comme suit. Les livres biographiques composés de Matthieu, Marc, Luc, Jean. Le livre historique de Actes. Les Épîtres de Paul constitués de Épître aux Romains, Première Épître aux Corinthiens, Seconde Épître aux Corinthiens, Épître aux Galates, Épître aux Éphésiens, Épître aux Philippiens, Épître aux Colossiens, Première Épître aux Thessaloniciens, Seconde Épître aux Thessaloniciens, Première Épître à Thimothée, Seconde Épître à Thimothée, Épître à Tite, Épître à Philémon. Les Épîtres Généraux incorporant les Épître aux Hébreux, Épître de Jacques, Première Épître de Pierre, Seconde Épître de Pierre, Première Épître de Jean, Seconde Épître de Jean, Troisième Épître de Jean, Épître de Jude et le livre Prophétique de l'Apocalypse de Jean. La signature mathématique de Dieu a été mise sur ces livres. Personne n'a eu a déclaré que ces livres sont bons ou non. Dieu S'est chargé Lui-même de faire reconnaître Ses livres en les intégrant aux Saints Écrits.

 

Tout commence avec Moïse. Les recherches bibliques nous permettent d'affirmer que Moïse est le premier auteur de la Bible. Pendant les 40 ans de marche dans le désert, Moïse, qui avait été élevé et formé selon la sagesse des princes égyptiens, a mis par écrit les expériences de la marche du peuple avec Dieu dans le désert. Du point de vue rédactionnel, les livres de l'Exode et des Nombres ont été écrits par Moïse avant celui de la Genèse. Le livre de la Genèse a été rédigé par Moïse pour situer l'existence du peuple d'Israël vis-à-vis de l'origine du monde et des nations voisines. Le livre de la Genèse répond aux questions suivantes : d'où vient la nation d'Israël ? D'où viennent toutes les nations du monde ? Pendant les quarante années de marche dans le désert, Moïse a donc écrit le Pentateuque ; les cinq premiers livres de la Bible (Exode - Nombres - Genèse - Lévitiques - Deutéronome). Également, Moïse pourrait être l'auteur du livre de Job.

 

Après la mort de Moïse, Josué son successeur a écrit les derniers chapitres du livre du Deutéronome qui relatent la fin de la vie de Moïse. Josué a aussi écrit le livre qui porte son nom soit, le livre de Josué. Il est aussi probable que Phinées, fils d'Aaron a ajouté quelques précisions sur la pratique du sacrifice dans le livre de Lévitique. Le reste des livres de l'Ancien Testament ont été écrits progressivement par les prophètes. Les sages ont aussi écrits sous l'inspiration de Dieu le livre de Job, Psaumes, Proverbes. Tous ces livres ont été écrits et rassemblés pour former le canon de l'Ancien Testament. Une succession d'hommes inspirés de Dieu ont écrit les livres bibliques de l'Ancien Testament jusqu'à Malachie. Malachie étant le dernier prophète que Dieu a envoyé à son peuple dans l'Ancien Testament. Sa prophétie se situe aux alentours de 500 avant Jésus-Christ. Après Malachie, la nation juive est restée pendant 400 ans sans prophète.

 

Jean-Baptiste fut le premier prophète que Dieu envoya après 400 ans de silence pour annoncer la venue de Jésus-Christ. Pour bien distinguer la période qui va de Malachie à Jean-Baptiste, la théologie chrétienne parle de la période intertestamentaire. C'est-à-dire de la période qui sépare la fin de l'Ancien Testament du début du Nouveau Testament. Une partie des écrits apocryphes de l'Ancien Testament a été rédigée pendant la période intertestamentaire, lorsque Dieu cessa pendant 400 ans, d'envoyer ses prophètes. Les scribes et rabbins juifs, gardiens des écrits sacrés de l'Ancien Testament ont refusé de reconnaître tous les livres écrits pendant la période intertestamentaire. Ces livres que nous appelons « apocryphes » n'ont pas été écrits par des prophètes ou des personnes qui avaient l'inspiration de Dieu. Ils étaient écrits par des personnes qui voulaient parler au nom de Dieu, sans que Dieu ne les ait envoyés.

 

La rédaction du Nouveau Testament a connu aussi une histoire similaire. Après l'ascension du Seigneur Jésus-Christ au ciel et le début de l'Eglise à la Pentecôte, l'apôtre Paul fut le premier a avoir mis par écrit ses épîtres (lettres) qu'il envoyait aux différentes églises formées dans les villes. Les apôtres de Jésus formèrent plusieurs Églises en Asie, en Europe et en Afrique. À chaque fois qu'un écrit, lettre, épître ou évangile étaient terminé, les Églises existantes à travers le monde recevaient le manuscrit recopié par des disciples centralisés à Jérusalem sous l'autorité de l'ensemble des apôtres et leur ordre d'insertion dans les Saints Écrits. Les évangiles ont donc été écrits, soit par les apôtres de Jésus, ou soit par les disciples des apôtres de Jésus. Ainsi, l'évangile de Matthieu a été écrit par Matthieu lui-même. L'évangile de Marc a été écrit par Jean- Marc qui était un disciple de l'apôtre Pierre. L'évangile de Luc a été écrit par Luc le médecin qui était un compagnon de l'apôtre Paul. L'apôtre Jean a écrit le dernier évangile, l'évangile de Jean, les épîtres de Jean 1, 2 et 3 et le livre de l'Apocalypse. Le livre des Actes des Apôtres a été écrit par Luc ; le reste des épîtres ont été écrites par l'apôtre Paul, l'apôtre Pierre et l'auteur de l'épître aux Hébreux. Le dernier livre a avoir été transmis aux Églises fut l'Apocalypse de Jean. Ce dernier livre constitue le dernier livre formant le canon; et une sérieuse mise en garde est donné à ceux qui voudrait ajouter ou retrancher au livre de Dieu.

 

Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre: Si quelqu'un
y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre;

et si quelqu'un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu
retranchera sa part de l'arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre.
(Apocalypse 22 : 18-19)

 

 

Dieu a toujours veillé sur Son Livre. Aussi le canon constitue Son œuvre et Son message aux hommes. On ne doit pas mélanger le Blé venant de Dieu avec l'ivraie que sont les apocryphes. Il y a plus de 850 livres apocryphes disant provenir d'Hénoch, Joseph, Marie, Marie Madeleine, Thomas, Barnabée, Juda et autres noms d'hommes marchant près de Dieu dans l'Ancien Testament et côtoyant Jésus le Saint Fils de Dieu dans le Nouveau Testament. Le principal des écrits apocryphes et des manuscrits a été retrouvé dans la grotte de Qumrân qui constitue un corpus total d'environ 850 manuscrits. Bien que certains d'entre eux ne sont pas clairement identifiés, ces écrits peuvent être partagés en trois groupes: des textes bibliques, des textes parabibliques ou apocryphes et des textes sectaires propres à la communauté de Qumrân. Les manuscrits de Qumrân furent découverts entre 1947 et 1952 au nord-ouest de la mer Morte, dans onze grottes situées à proximité du site de Khirbet Qumrân. En arabe, khirbet signifie « ruine ».

 

Puisque les écrits revendiquant des noms bibliques n'ont pas été incorporés dans le canon de la Parole de Dieu. La Parole de Dieu, la Sainte Bible étant complète, parfaite et véritable. Qui aurait eu intérêt à la découverte de manuscrits venant contredire parfois la Parole de Dieu 2000 ans après les événements? La réponse est Satan.

 

L'Évangile de Judas est un manuscrit en papyrus de 26 pages écrit en copte dialectal datant du IIIe siècle ou du IVe siècle. Il fait partie d'un codex d'une soixantaine de feuillets entre 62 et 66 suivant les sources, appelé « Codex de Tchacos », contenant aussi deux textes apocryphes, soit, l'Épître de Pierre à Philippe et la Première Apocalypse de Jacques, qui se trouvent aussi dans les manuscrits de Nag Hammadid. La découverte de ce codex reste trouble, probablement dans les années 1960-1970 dans les sables du désert égyptien près de El Minya.

 

Cet évangile a été composé dans la première moitié du IIe siècle et est en fait une traduction copte d'un texte grec plus vieux encore. D'ailleurs, Irénée, le premier évêque de Lyon, en fait mention vers le milieu du IIe siècle dans un texte dénonçant les hérésies : ce texte est effectivement considéré comme apocryphe.

 

Il serait étonnant que Juda l'Iscariote, celui qui vendit Jésus pour trente sicles d'argent eu le temps d'écrire ses derniers écrits et de les consigner dans le désert égyptien. Puisque, celui-ci s'est donné la mort de façon fort agitée avant que le Saint Fils de Dieu n'ait été crucifié à Golgotha. Moins de quelques jours ont séparé la trahison de Juda et le Vendredi Saint ou le Fils de Dieu fit Son œuvre Salvatrice pour toute l'humanité.

 

On doit plus ces écrits, comme pensent les érudits chrétiens, à la secte gnostique. Il s'agit d'une doctrine d'un ensemble de sectes chrétiennes hétérodoxes des trois premiers siècles de notre ère, qui professait un dualisme radical et fondait le salut de l'homme sur un rejet de la matière soumise aux forces du mal ainsi que sur une connaissance supérieure des choses divines. Satan pouvait-il avoir meilleur disciple pour cette œuvre de contrefaçon?

 

Comme dans le cas de l'Ancien Testament, après la mort des apôtres de Jésus et de leurs disciples, plusieurs personnes ont commencé à écrire d'elles-mêmes. C'est ainsi que l'on retrouve des évangiles ou écrits de Thomas, de Marie Madeleine, Marie la mère terrestre de Jésus, de Barnabé, de Jacques, de Juda et beaucoup d'autres noms ayant côtoyé notre Seigneur. Ces personnes utilisaient les noms des apôtres de Jésus pour donner de la crédibilité à leurs écrits. Pour se garder de toute fraude, les érudits chrétiens retiennent uniquement les livres canonisés, tenus sacrés et inspirés formant le canon du Nouveau Testament.

 

Ainsi sont nés les livres apocryphes, qui malheureusement, commencent à être réintroduits dans les Bibles Catholiques et Œcuméniques. Les chrétiens ne reconnaissent que 70 livres dans la Bible ; 43 pour l'Ancien Testament et 27 pour le Nouveau Testament. Si la plupart des Bibles n'ont que 66 livres, c'est que les psaumes contenant cinq (5) livres soient : Premier livre 1 à 41; Deuxième livre 42 à 72; Troisième livre 73 à 89; Quatrième livre 90 à 106; Cinquième livre 107 à 150, ont été ramenés en un seul livre c'est-à-dire le livres des Psaumes.

 

Voilà donc les raisons pour lesquelles les Érudits et les vrais chrétiens du monde entier rejettent les livres apocryphes. Ils ne sont pas la Parole inspirée de Dieu. Ils sont les écrits de la sagesse humaine et ne peuvent amener au salut en Christ. Toutefois, par curiosité intellectuelle, les chrétiens sont libres de les lire. Mais ils ne peuvent jamais les utiliser dans la prédication ou dans leurs décisions morales et spirituelles.

 

L'autorité : Mis à part la connaissance du bien et du mal, toutes la Parole de Dieu serait vaine, sans la personne centrale du plan divin, à savoir Jésus-Christ. Le Sauveur divin qui par Son sacrifice rédempteur est venu sauver tous les hommes. Le centre de la création est Christ.

 

Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle.
(Jean 1:3)

Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les
visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par
lui et pour lui.

Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.

(Colossiens 1 :16-17)

 

Le but ultime ou la raison d'être d'un homme sur terre étant l'acceptation du sacrifice rédempteur de Jésus-Christ pour lui-même. L'une des symbolisations possible qui pourrait être visionnée : Un homme seul devant la croix du calvaire, pas d'enfant, pas de famille, pas de partenaire, pas de prêtre, pas de pape, complètement seul comme devant la naissance et la mort. Il voit Jésus sur la croix et prend une décision. Est-il le Fils de Dieu? Accepte t-il de donner tous ses péchés passés, présents et futurs à Jésus à la croix? Désire t-il être réconcilié avec Dieu par Jésus son Fils? Se repend t-il d'être pécheur et aspire t-il à une vie de sainteté éternelle? Si cet homme a répondu oui aux quatre questions, il est sauvé.

 

Jésus-Christ comme personne divine de la Trinité fait office d'autorité en matière de reconnaissance des Saints Écrits.

 

Dans le Nouveau Testament, Jésus reconnaît à Moïse le crédit d'être l'auteur de la Loi transmise par Dieu. (Matthieu 8.4 ; 19.7-8 ; Marc 7.10 ; 12.26 ; Luc 16.29 et 31 ; 24.44 ; Jean 5.45-46 ; 7.19, 22 et 23). Également, les écrivains du Nouveau Testament soutiennent que l'auteur de la loi mosaïque est Moïse (Jean 1.45 ; Actes 3.22 ; 7.34 et 44 ; 13.39 ; 15.1 et 21 ; 21.21 ; 26.22 ; 28.23, Romains 9.15 ; 10.5 et 19 ; 1 Corinthiens 9.9 ; 2 Corinthiens 3.15, Hébreux 7.14 ; 8.5 ; 9.19 ; 10.28 ; 12.21).

 

Jésus admettait que les livres de l'Ancien Testament étaient investis de l'autorité divine et de la canonicité (Matthieu 5.17-18 ; Luc 24.27, 44 et 45 ; Jean 10.34-36).

 

Jésus confirmait la véracité des événements historiques et doctrinal de l'Ancien Testament comme : la création de l'univers dans Marc 13.24-26; la création de l'homme dans Matthieu 19.4-5, Marc 10.6, 16 :15; le déluge du temps de Noé dans Luc 17.26-27; la destruction de Sodome et Gomorrhe dans Luc 17.28-30; Moïse et le buisson ardent dans Marc 12.26; la manne dans Jean 6.32; le tabernacle dans Luc 6.3-4, Jonas et le grand poisson dans Matthieu 12.39-40. En rien, Jésus ne contredit les faits historiques des livres Saints. Jésus a toujours cité les Écritures Saintes. Au contraire Jésus s'exclame en reconnaissant toute l'autorité de la Bible :

 

Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne
disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit
arrivé. (Matthieu 5 :18)

 

Les livres composant la Bible sont de Dieu et forment, ensemble un texte exact dans leurs versions originales. Dieu a promis de préserver sa Parole. La canonicité a agit de façon que les livres que Dieu inspira soient rapidement reconnus et intégrés à la Bible. Dieu a veillé sur Son livre la Parole de Dieu en alimentant Sa Parole à la vue du peuple Juif et des chrétiens, Ses livres reçus de la main d'hommes pleinement certifiés de leur vivant par Lui-même. Enfin, Jésus, le Saint Fils de Dieu, confirme la sainteté des Écrits Saints dans son ministère.